ℂ𝕖 𝕟’𝕖𝕤𝕥 𝕡𝕒𝕤 𝕟𝕠𝕣𝕞𝕒𝕝 𝕕𝕖 𝕤𝕠𝕦𝕗𝕗𝕣𝕚𝕣" — ℂ𝕠𝕟𝕗𝕖́𝕣𝕖𝕟𝕔𝕖 𝕤𝕦𝕣 𝕝’𝕖𝕟𝕕𝕠𝕞𝕖́𝕥𝕣𝕚𝕠𝕤𝕖

À 11 ans, mes premières menstruations arrivent.

Je trouve cela impressionnant… et j’ai mal. Vraiment très mal.

Je suis pliée en deux, je souffre en silence sur ma chaise de classe.

Tout ce que j’attends, c’est que la cloche sonne pour aller me recroqueviller dans le canapé.

Mais ce que je ressens est bien plus qu’un inconfort. C’est une douleur qui me déchire.

Et une forme d’incompréhension s’installe.

Je regarde les autres filles… elles ont l’air d’aller bien.

Alors je me demande : ““𝐶̧𝑎 𝑣𝑎 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑐̧𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑠 ? 𝐽𝑢𝑠𝑞𝑢’𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑚𝑎 𝑣𝑖𝑒 ?”

Je ressens du désespoir. L’impression d’être maudite.

Et puis ma maman me dit que c’est normal, que dans la famille, on a toujours souffert.

Alors j’ai cru ça : “𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐧𝐨𝐫𝐦𝐚𝐥 𝐝’𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐦𝐚𝐥.”

Mais 𝟐𝟑 𝐚𝐧𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐭𝐚𝐫𝐝, je sais que NON.

Ce n’est pas normal de souffrir.

Ce n’est pas normal de s’évanouir de douleur.

Ce n’est pas normal de vivre dans la honte, le silence ou la résignation.

Ce n’est pas normal de croire qu’on exagère, ou qu’on doit juste "prendre sur soi".

Aujourd’hui, je prends la parole.

Pour moi, pour celles qui n’ont pas pu, pour celles qui doutent encore.

𝐃𝐢𝐦𝐚𝐧𝐜𝐡𝐞, je t’invite à une 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐢𝐧𝐞́𝐝𝐢𝐭𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐠𝐮𝐞́𝐫𝐢𝐬𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐝𝐨𝐦𝐞́𝐭𝐫𝐢𝐨𝐬𝐞 — une approche 𝐡𝐨𝐥𝐢𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞, 𝐞́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐞́𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞

Ce moment est conçu pour toi, que tu sois concernée directement, proche d’une femme atteinte, ou thérapeute en quête de nouvelles clés de compréhension.

Tu y trouveras :

• Des éclairages sur l’endométriose, ses causes visibles et invisibles

• Des outils concrets : alimentation, plantes, visualisations, libérations émotionnelles

• Des rituels guidés pour se reconnecter à son utérus, à son histoire, à sa puissance

• Des pauses d’introspection pour écouter ce que ton corps veut vraiment te dire

• Une vision globale qui inclut les dimensions physiologiques, émotionnelles, transgénérationnelles et karmiques

𝟐𝐡 𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞, pour poser les bases d’un nouveau regard :

Celui d’une femme qui ne subit plus, mais qui choisit de s’honorer.

Celui d’un utérus qui n’est plus vécu comme une source de douleur, mais comme un 𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐬𝐚𝐜𝐫𝐞́ 𝐝𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧.

𝐓𝐮 𝐧’𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐬 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐞.

Et il est temps que la guérison devienne une réalité partagée.